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La vie est belle
21 juin 2011

Suite de mes aventures immobilières

Nous sommes en 1991. Mon mari est décédé, mes enfants mariés et il me reste mon fils handicapé et ma « petite » dernière. J’ai 60 ans et je songe à l’avenir. Je n’ai aucune famille dans le village. Il se peut qu’un jour je ne puisse plus conduire. Aussi j’envisage d’habiter de nouveau en ville.

Je tiens à ma maison et n’ai pas envie de la vendre. Je calcule donc que je peux garder une des deux maisons, de louer la seconde, ce qui me permettra de rembourser un emprunt que je serai obligée de faire.

J’écume donc le département à la recherche de ce qui pourrait me convenir. Je veux du plain-pied, pas trop cher, habitable de suite, à proximité du centre ville de façon à ce que je puisse me rendre à pied à la mairie, la poste, chez le docteur, le pharmacien ou le dentiste, et faire mes courses. Tout cela n’est pas facile à trouver.

Je me décide pour Romilly, ville la moins chère du département. Ma maison est près du centre. Elle est jumelée des deux côtés. Il y a deux chambres à l’étage avec un cabinet de toilette WC. En bas, une pièce sur rue que j’ai appelé « le petit salon » et ou je dormais au début. Une autre pièce mal éclairée était la cuisine. Sa fenêtre donnait sur une très grande pièce qui était une ancienne petite usine et qui était recouverte de sheds. C’était très lumineux et offrait de grandes possibilités.

J’avais en plus un petit jardin à l’arrière, une petite dépendance, et un autre jardin de l’autre côté de la rue. Il n’y avait plus qu’à s’attaquer aux travaux.

 

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